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 Métro, boulot, bobo [Rima]

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Senri Shiki

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MessageSujet: Métro, boulot, bobo [Rima]   Métro, boulot, bobo [Rima] EmptyMer 24 Aoû - 14:18

    J'avais du mal à entendre ce que le professeur disait. Et pourtant, pour une fois, je me forçais à écouter. Mais je m'endormais peu à peu, les gens autour de moi devenant flous et le bruit lointain.
    Durant les vacances d'été, j'étais allé voir ma mère. Mon oncle m'avait écrit pour me dire que je lui manquais et qu'elle me réclamait sans cesse. Je savais que la seule chose qui l’intéressait chez moi était mon sang, et non ma présence. Car dans mes veines coulait du sang pur, qui était de loin le meilleur de tous. Mais ça me déplaisais de lui donner, car elle ne faisait pas attention à la quantité qu'elle prenait. De plus, il n'y avait qu'une personne à qui il aimait donner son sang : Rima. Car elle-même lui en donnait après. Cet échange de sang était normalement un signe d'amour profond et tout le monde dans la Night-Class était au courant que nous le faisions. Pourtant ils étaient surpris de voir que notre relation n'allait pas plus loin et que restions de simples amis. Moi-même j'avais énormément de mal à résister, étant fou amoureux d'elle. Lorsqu'elle enlevait sa chemise et était en soutien gorge devant moi pour ne pas se tâcher lorsque je la mordais ... Il n'y avait rien de plus intime et sensuel. Il suffisait de tendre la main pour lui caresser la poitrine mais je n'en faisais rien, parce que l'aimais trop pour risquer de la perdre. Ce désir me consumait et j'étais parfois obligé de coucher avec des fans pour me calmer. Une fois de plus j'étais retourné à l'Académie malade. Ma mère buvait une grosse dose de sang chaque fois, et le peu que je récupérais au cou d'une jeune et jolie domestique ne suffisait pas.

    " SHIKI-SAN ! SI MON COURS VOUS ENNUIE TANT QUE CA, ALLEZ DORMIR A L'INFIRMERIE ! "


    Je sursautai violemment et baillai longuement, regardant le professeur sans le voir. Je n'y pouvais rien, si j'étais malade ! Prenant mon temps, je rangeai mes affaires et n'accordai qu'un regard à la femme que j'aimais avant de quitter la pièce d'un pas lourd. Le chemin jusqu'à l'infirmerie me parut interminable. J'entrai sans prendre la peine de frapper et l'infirmière me lança un regard lourd de sens. Mais je lui avais expliqué qu'à chaque rentrée ce serait ainsi, alors elle ne me disputa pas et me donna un lit, à l'écart. Je posai mes affaires sur la petite table et m'attardai un instant sur le décolleté de la femme, avant de m'asseoir au bord du lit. C'était certainement le genre de femme à se faire les étudiants, en les soignant par la thérapie par le sexe. Comme dans les mangas pornographiques que lisait Ichijo, dans notre chambre. Cette femme connaissait visiblement notre secret car elle s'allongea sur mon lit et tendit son cou. Je la trouvai alors terriblement désirable, non pas à cause de son apparence de poupée superficielle, mais parce qu'elle s'offrait à moi. Mes yeux devinrent rouge sang et je m'assis sur elle à califourchon. Vu son regard pervers, ça ne m'aurais pas étonné qu'elle me demande plus que ça après. J'imaginais Rima à la place, me suppliant du regard de s'occuper d'elle. Instinctivement j'ouvris la blouse blanche de la femme et elle gloussa, visiblement en chaleur. Sa poitrine était plus grosse que ma tête et sa tête réunies, c'était moche à voir. Je préférai oublier cette vision cauchemardesque et avançai mon visage vers son cou.

    Je m'allongeai sur elle et léchai doucement son cou, bien que le faisait mal volontairement. Je me fichais pas mal de savoir si elle allait ressentir de la douleur ou non, la seule personne à qui je faisais attention était mon amie. Je plantai mes crocs dans sa veine et commençai à aspirer des petits gorgées de sang. La façon dont elle s'accrocha à moi, ongles plantés dans le dos, me mis mal à l'aise. C'était généralement la réaction des filles quand je couchais avec elle. Cette femme était donc t-elle si perverse que ça ? Déstabilisé, j'attrapai fermement ses poignets et les tenais au dessus de sa tête d'une main. Je plantai de nouveau mes crocs dans les deux petits trous que j'avais ouverts juste avant, plus violemment encore cette fois. Elle pourra un petit cri de douleur et d'aise qui acheva de me perturber. Si quelqu'un les surprenait maintenant, ça ne faisait aucun doute qu'il y aura un énorme quiproquo. Vu la position dans laquelle ils étaient, c'était clair qu'ils allaient coucher ensemble. Elle à moitié déshabillée, poussant des gémissements de plaisir, poignets bloqués au dessus de la tête ... Cette situation tournait vraiment mal, mais je ne pouvais arrêter. J'avais trop faim. Son genou se glissa entre mes jambes et commença à frotter doucement d'abord, puis de façon stimulante. Je devais arrêter avant qu'il soit trop tard. La porte de l'infirmerie s'ouvrit, je ne l'entendis pas. Les gémissements de la femme ne cessaient pas, je n'entendais rien d'autre.

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Rima Tôya

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MessageSujet: Re: Métro, boulot, bobo [Rima]   Métro, boulot, bobo [Rima] EmptyMer 24 Aoû - 16:05

    -Rima ! Rima ! Rima ! Shikiiii rentre tout à l’heure ! Tu es contente ?!

    C’est vrai, il rentre tout à l’heure… Enfin…. J’avais passée un long moment à m’inquiéter sur son sujet… A chaque fois qu’il rentrait de chez lui, il était dans un état pas possible… Donc, oui, je suis contente. Contente car je sais qu’en venant ici, il allait aller de mieux en mieux. Mais, que je sois contente ou pas, cela ne regarde que moi Ichijo est bien trop curieux… J’ai lentement tournée la tête vers lui en le regardant longuement. Il s’arrêta de me coller et recula d’un pas. Mon regard était comme d’habitude démuni d’expression. Froid, vide ou alors si, on pouvait y voir de la légère colère en ce moment… Je ne l’étais pas. Je me cachais seulement. Les autres n’avaient pas besoin de savoir ce qui me passait derrière la tête. Ca ne me regarder que moi… Moi et la seule personne capable de lire dans mon regard si vide. Senri Shiki… Ichijo savait qu’il venait de m’agacer. Il tourna sur ses talons en disant que je pourrais un peu plus exprimer ma joie de le retrouver. Tous le monde le savais que j’étais soulagée qu’il revienne, tout le monde avait vu mon inquiétude pendant son absence… Mais moi, je reste dans mon coin, à la fenêtre attendant qu’il passe la porte…. Je n’avais pas bougée, je n’attendais que lui, je n’attendais que de voir les nouveaux dégâts causés Madame Shiki… Je l’avais beaucoup respectée autre fois… C’était mon idole… Mais maintenant… Plus je grandi, plus je passe du temps avec Senri je ressens comme une sorte d’haine envers cette femme qui rend son enfant malade…

    Il était là, il arrivait. Je le senti de loin. Je suis allée me placer devant la grande porte fermée, et j’ai attendu toujours silencieuse qu’il passe le pas de la porte. Maintenant, il était en fasse de moi et je suis restée là, debout sans lui dire un mot. Tous étaient derrière nous. A peine était-il rentré qu’il fallait déjà que nous filions en cours… Je serais tellement restée là juste avec lui… Il était si pâle… Vous me direz pour un vampire c’est normal… Mais là, il était bien trop pâle… Bien trop abîmé par la fatigue et le manque de sang… Je l’ai fixé un moment avant d’hocher la tête pour le saluer et passer à coté de lui pour suivre les autres et aller en cours… Devant tout le monde, je n’étais jamais pareil que seule avec lui… Il le sait, il ne m’en voudra pas.

    Assise en cours, je n’écoutais pas ce que le professeur disais… je regardais Senri qui s’endormait, visiblement mort de fatigue et surement de faim… Le prof le rappela à l’ordre lui disant d’aller à l’infirmerie pour dormir au lieu de le faire en cours… Il s’est lever lentement pour finalement quitter la salle de cours en me jetant un regard que je soutenais tout le long. Puis il disparu à nouveau de mon champ visuel… J’ai regardée sa place vide et je vis sa petite boite qui contient ses cachets de sang artificiel. Je la ramassais, elle avait surement dû tomber de sa poche. Je la serra entre mes doigts prise d’hésitation. Est-ce qu’il avait besoin de moi… De mon sang… Ou seulement de dormir… J’ai fini par me lever en récupérant mes affaires.

    - Tôya ! Où allez-vous ?!

    Je suis descendu au niveau du professeur et j’ai montrée ce que j’avais dans les mains lui disant qu’elle l’apporte à Senri car il en aurait sûrement besoin. Et je quittais la salle après avoir eu l’accord de Kuran qui hocha la tête… Je ne voulais pas faire de faux pas surtout qu’il m’avait à l’œil depuis que j’ai bu le sang du Level A Sara… Mais c’était ça ou je m’en prenais à des humains. Vu que Senri n’était pas là j’ai sauté sur le premier vampire qui m’approchait sans réfléchir…

    Je marchais lentement vers l’infirmerie bien que j’avais envie d’y aller en courant pour me retrouver enfin seule avec mon ami… Mais bien vite, cette envie diminuait… Plus je m’avançais de la salle de soin, plus je sentais cette odeur de sang si attirante… Je me suis arrêter en sentant mon regard devenir rouge et mes crocs planter ma lèvre inférieure et j’ai avalé sec une Blood Tablet. J’ai attendu que les effets se fasse et je repris ma route en serrant les poings quand j’entendis une femme… jouir ?

    J’ai ouverte la porte de l’infirmerie et j’ai croisée les bras en m’adossant au mur. Posant mes yeux sur eux je la vis frotter sa jambe contre son entre jambe. Je me suis raclée la gorge et j’ai fini par dire gardant mon regarde froid sur eux… :

    - Je ne crois pas que le directeur apprécierait de savoir que son infirmière joue la prostituée sur son lieu de travail.

    C’est vrai quoi… C’est cette image que j’avais là de suite… Un truc genre « j’te file mon sang, mais on couche ensemble après. » Je ne voyais que ça… Et je ne savais pas pourquoi j’avais une envie folle de choper Senri et de le tirer par la peau du cul ailleurs pour le rentrer dans un mur. Je savais qu’il couchait avec des gens mais le voir comme ça devant moi sur le point de le faire m’énervais encore plus que ce que je ne l’avais imaginée… J’avais pensait que je serais juste un peu triste… Mais en plus de ça, il y a du dégout… Je suis dégoutée et écoeurée voir un peu – pour ne pas dire beaucoup – blessée… Je pensais qu’il serait venu me voir moi retrouver un peu de force… Je pensais qu’il aimait boire de mon sang… Mais apparemment, n’importe quel sang suffisait pour lui. M’enfin, je m’en foutais… Du moins je me le persuadais… Je me suis redressais et j’ai montrée la petite boite contenant ses cachets.

    - Je venais te les apporter. Mais je vois que tu n’en a pas besoin.

    Je me suis avancer jusqu’à la table de chevet â coté du lit et j’ai posée la petite boite puis j’ai levé les yeux fixant la poitrine de la femme et j’ai grimacée en voyant ça… Avant de laisser un sourire moqueur venir sur le coin de ses lèvres. C’était discret mais c’était là. On pouvait dire qu’elle en avait une putain d’énorme poitrine. J’ai levée les yeux sur Senri :

    - Amuse-toi bien.

    J’ai quittée la pièce sans leurs accorder un nouveau regard. Et j’ai marchée lentement très lentement… Il fallait que je me calme… Je tremblais... L’odeur de sang avait été trop forte… j’ai gobée une seconde Blood Tablet et je me suis accotée au mur…. Je ne pense qu’à ce sentiment de dégout et de déception qui m’habite en ce moment….
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Senri Shiki

Senri Shiki

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MessageSujet: Re: Métro, boulot, bobo [Rima]   Métro, boulot, bobo [Rima] EmptyJeu 25 Aoû - 12:21

    Les yeux écarlates, le sang ruisselant le long de ma mâchoire et de mon cou, je regardai Rima sans comprendre. Ce fut seulement quand celle-ci quitta précipitamment la pièce que je réagis . L'infirmière me lança un regard entendu et je me précipitai, sans faire attention à ma tenue. En effet ma chemise noire était ouverte, le sang luisait sur ma peau pâle, mes yeux n'avaient pas perdu leur couleur rouge éclatante. Mes cheveux étaient en bataille à cause des mains perverses de cette femme. Je savais qu'ainsi je risquais d'effrayer Rima, mais je savais aussi que j'avais un charme certain car je paraissais plus mature. Et de la maturité j'en avais besoin pour affronter cette situation. Elle était là, appuyée contre le mur. Derrière mes yeux affamés se cachait un regard désolé et rempli d'amour. J'aimais cette fille. Plus que tout au monde, plus que ma propre vie. Plusieurs fois j'avais pensé faire d'elle ma femme, mais j'avais peur de perdre son amitié si elle refusait. De toute façon nous n'en étions pas là, nous verrions bien après le lycée. Je fis quelques pas vers elle et l'attrapai délicatement par la main, avant de l'entraîner derrière moi. Je ne lui laissais pas vraiment le choix.

    Comme je m'en doutais, la femme était partie et nous avait laissé la salle. Elle avait même prit la peine d'enlever le drap tâché de sang. Je renfermai la porte derrière moi et me faufilai dans le dos de Rima , la serrant fermement dans mes bras. Le sang avait séché, je ne risquai pas de tâcher son uniforme. J'avais conscience de faire mon mal dominant , mais je voulais dissiper ce malentendu avec elle. Ma bouche se posa sur son cou je la léchai lentement, profitant de l'odeur et du gout de sa peau. Rima était divine. Il ne voulait la partager avec personne. Ses cheveux chatouillaient son torse, il sentait battre son cœur près de sa main. Elle était fine, gracieuse, terriblement désirable. La bosse sous mon pantalon ne disparut pas, au contraire. Mes mains descendirent sur son ventre que je caressai amoureusement, tout en continuant de déposer des baisers dans son cou. Enfin je la relâchai, mes yeux redevinrent gris. J'allai m'allonger sur un lit, avant de commencer timidement :

    « Tu sais qu'à chaque fois que je rentre chez moi, ma mère boit une quantité tellement importante de sang que je suis à la limite … Et j'ai tellement besoin d'en récupérer que je ne fais pas attention à la quantité que je bois. Si tu n'étais pas arrivée, je ne sais pas si j'aurais eu la force d'arrêter de boire. Je ne veux pas te faire subir la même chose. »


    En fait, je me demandai surtout pourquoi elle avait réagit ainsi. Était-ce la fatigue ? La jalousie ? D'habitude il ne buvait que son sang à elle, certes. Prenant alors le besoin de justifier chacun de mes actes, je m'assis au bord du lit et continuai :

    « Il n'allait rien se passer avec elle tu sais. Je lui ai enlevé sa blouse pour ne pas qu'elle soit tâchée au cas où quelqu'un viendrait à l'infirmerie. Et ce qu'elle faisait avec sa jambe enter les miennes ... Je ne lui ai rien demandé, je buvais alors je n'ai pas réagit. Tu sais à quel point il est dur de sortir d'une transe. »


    Je lançai un regard suppliant. Et empli de désir. Ces derniers temps je n'arrivais plus à la regarder comme une amie, comme ma meilleure amie même. Je la voyais comme une femme. Uchijo m'avait ouvert les yeux quelques mois plutôt. Il m'avait à juste titre remarquer que tout le monde se posait des questions sur la relation que j'entretenais avec elle. Car nous étions proches, bien plus proches que deux amis l'étaient vraiment. Mais nous n'étions pas en couple. J'avais besoin de savoir ce qu'elle ressentait, elle. Et je serai fixé. J'arrêterais de me bercer d'illusions vaines et me reconstruirai après une telle déception, si elle ne me voyait que comme son meilleur ami. D'un coup je pensais au x Blood Tablets qu'elle m'avait apporté et la remerciai d'un sourire. Elle aurait sûrement des ennuis pour être sortie sans raison valable. Mais elle était si attentionnée avec moi. En fait je me demandai si elle ne voyait pas en moi un petit frère dont il fallait s'occuper. Dans ce cas là je lui montrerai l'inverse, autrement dit que je pouvais très bien m'occuper d'elle aussi. Mais pas de la même manière.

    Je n'osais pas lui demander. Lui demander d'être claire avec moi. Pourtant on avait toujours osé tout se dire ... Le passage à l'âge adulte créait des faussés entre les uns, réunissait les autres. Et si elles et moi nous éloignions peu à peu ? Je ne voulais pas y penser, elle avait été mon seul soutien lorsque j'en avais besoin, tout comme j'avais toujours été là pour elle. Il était impensable que nos chemins nous emmène chacun de notre côté. Je la regardai de la tête aux pieds : Cheveux roux magnifiques, qu'on voulait caresser ou voir voler au vent, des yeux bleus foncés et profonds, foudroyants. Une bouche fine et désirable au possible. Un corps d'ange que j'aimais sentir contre moi... Je ne voulais pas la perdre. Surtout pas après une erreur comme celle d'aujourd'hui.
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Rima Tôya

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MessageSujet: Re: Métro, boulot, bobo [Rima]   Métro, boulot, bobo [Rima] EmptySam 27 Aoû - 12:10

    Saloprie de cœur… Calme-toi… J’ai posée ma main sur ma poitrine il battait tellement fort… Il battait comme ça pour un mélange de tout… La colère en premier lieu… l’odeur de sang l’avait aussi bien aidé à s’emballer… La vue de Senri sur cette femme… Je ne sais pas… j’étais simplement perturbée… Et ca, ca m’énervais d’autant plus. J’ai posé mon autre main sur ma gorge qui ne réclamée qu’à recevoir du sang… Et je ne devais pas être là seule dans cet état. Toute la night class avait du sentir l’odeur du sang. Tout le monde devait avoir faim à l’heure qu’il était. Senri… Imbécile…

    J’ai entendu des pas venir vers moi. Pas la peine de lever la tête, je savais que c’était lui. J’avais reconnue son odeur, et celle de l’infirmière. Il avait son odeur partout sur lui… Il puait… Voilà, il puait l’odeur d’une autre… Sa douce odeur vient d’être souillée par celle d’une garce. Une garce ouais… Je voyais l’infirmière telle qu’elle. Elle avait osée mettre ses sales mains sur lui… J’étais en colère… Je lui en voulais… Pourquoi j’suis dans un état pareil pour si peu… Senri… c’est de ta faute si je suis comme ça… Idiot…

    J’ai levée mes yeux rouges vers lui. Je me contrôlais… Heureusement que j’avais eut ce putain de réflexe d’avaler une Blood Tablet. Moi, je n’irais pas sauter sur le premier venu pour calmer ma faim. Pourtant, j’en avais envie. J’avais envie de lui jouer la même chose que ce qu’il venait de me faire. Mais ce qui me perturbe… C’est que je ne sais pas pourquoi je suis blessée… Il m’a tellement manqué. Et le fait qu’il agisse comme ça ne devrais pas me surprendre … Après tout on parlait bien de Senri Shiki. Le plus beau vampire que je n’ai jamais connu. Le plus beau mannequin que je n’ai jamais vu, le plus bel ami que je n’ais… Sa tenue ne m’aidait pas.... Chemise défaite, coupe totalement arrachée et ce sang qu’il lui reste partout autours de la bouche jusqu'à dans son cou… Dieu, comme il était séduisant… Une fille comme les autres aurait prit la fuite… Mais moi je savais ce qu’il était, j’étais pareille. Et ca lui allait tellement bien… Ca lui donnait un air si sauvage… Bordel… J’avais envie de lui sauter dessus… Rima, calme-toi…. Senri… Regarde dans quel état tu me mets… Crétin…

    J’ai tournée la tête, le regardais ne m’aidait pas… Il prit ma main et me tira. Bizarrement, je n’étais plus si en colère que ça… Il était venu me voir, il n’était pas resté avec l’autre pouf. C’est tout ce qui comptait. Je savais qu’il me trainait en direction, de la salle de soin à nouveau. Je n’y voyais aucun inconvenant. La femme n’était plus la… Donc j’allais enfin être seule avec lui…. Enfin… Il avait mon poignet dans sa main, ca faisait si, fragile a regarder. En faite, je fais fragile a coté de lui. Ca me fait sourire, car je sais que je ne le suis pas tant que ça. Voir pas du tout. Une fois entrée avec lui dans la salle, je suis restée dos à lui. J’attendais, je ne sais pas quoi peut-être qu’il parle… Qu’il m’explique, qu’il me dise comme il va… Mais au lieu de ça, il m’a prise dans son bras… J’ai fermée les yeux, et j’ai souris faiblement me collant un peu plus à lui. Il c’est tellement ce qu’il doit faire avec moi… Senri tu n’es qu’un imbécile…

    Les yeux fermés, je sentais son souffle dans mon cou… sa langue me donna de long frisson et me brula tout le long du cou. J’étais atrocement bien malgré le sang de l’autre qui me montait à la tête. Ses mains sur mon ventre qui se baladaient me faisaient un bien fou. J’adorais ça, qu’il me touche. J’adorais ça, sentir sa peau sur la mienne. Ses mains pour moi étaient si magiques. Si parfaite… Il était parfait… M’enfin… Qu’est-ce que je sens là…. Senri… Tout mon bonheur était retombé une seconde fois en très peu de temps. Senri, tu bandes… Tu bandes pour une autre nana… Il me désespère… Pourtant c’était logique après ce qu’elle avait fait avec. Elle l’avait touché ! Grrr, pauvre sont les mecs à avoir ce truc qui durcit. Je le savais qu’elle l’avait excité, mais de le sentir m’agasse….

    A ma nouvelle déception il a finit par se décoller de moi. J’ai tournée la tête pour le voir se mettre sur le lit. Et là, il a commencé à s’expliquer. Je l’écoutais avec attention, apparemment, il avait compris ce qui m’avait énervée… Et je me senti un peu honteuse, car il n’avait pas prit mon sang pour ne pas me faire du mal… Il avait dans se cas attention à moi… Il avait voulu m’évité de tomber malade ou voir pire… Senri… Je te hais tellement… Senri… J’ai envie…de te frapper… Arrête d’être aussi protecteur envers moi… Senri… Je savais a quel point sortir d’une transe était compliquée… Mais, il aurait pu se faire violent pour ne pas qu’elle le touche… Il avait forcement aimée qu’elle le touche… Et si je n’étais pas arrivée, après la jambe contre son entre jambe qu’est-ce que ca aurait été ? Sa main ? Sa bouche ? Ou tout simplement son intimité à elle. Raaah ! Faut que j’arrête d’y penser ca m’en énerve encore plus…

    Il était assis au bord du lit. J’étais debout près de la porte. Il était entrain de me regarder. J’étais en train de réfléchir… Pourquoi est-ce que je m’énerve après tout ? Ce n’est pas mon copain… Il ne me doit rien… Pourtant… Je suis vraiment touchée… Blessée… J’ai attendu, puis, j’ai repensée au faite qu’il a finit par me rejoindre moi et que c’est avec moi qu’il est là, dans la salle de soin. Plus avec elle… J’ai finalement décidée de me bouger sans répondre à ce qu’il venait de me dire… Je n’avais plus envie d’en parler…

    M’approchant de lui, je me suis collée à lui, mettant mes jambe de part et autre des siennes genoux sur le lit accrochée a lui pour être sure de ne pas tomber. Je l’ai regardé un moment dans les yeux et je me suis mise à lécher le sang sécher qu’il avait sur lui l’allongeant sur le lit. Je savais que je me mettais le gout du sang dans la bouche, que j’allais en vouloir plus, mais je savais me contrôler. Je me calmerais rapidement. Avec ma langue je descendis dans son cou descendant un peu vers son torse même si il n’y avait pas eu de sang à cet endroit… Puis je suis remontée, léchant à la commissure de ses lèvres… Pour finir je le regardai dans les yeux toujours sur lui. C’est vrais qu’on est assez proche… Toujours collée l’un à l’autre de cette manière. Ca ne me dérangeait pas. J’adorais ça… Pour moi, c’était normal, c’était comme ca que je me voyais avec Senri et ne pas le toucher me rendait folle…

    - Tu étais sale…

    J’avais dit ça pour justifier mon acte, bien que je n’aie pas forcement besoin de le faire… Un petit sourire toujours sur les lèvres j’observai son visage… Qu’est-ce qu’il m’avait manqué… J’étais si heureuse de le voir, je l’avais attendu trop longtemps… Pourquoi je ne pense qu’à lui… Senri qu’est-ce que tu m’as fait imbécile….


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Senri Shiki

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MessageSujet: Re: Métro, boulot, bobo [Rima]   Métro, boulot, bobo [Rima] EmptyVen 2 Sep - 10:35

    Je laissai Rima lécher le sang sur mon torse, retenant un soupir d'aise. Cette situation avait tout sauf le don de me faire oublier mon excitation. Sa position qui d'habitude paraissait naturelle, me semblait surréaliste . Et plus intime encore. C'était sans doute qu'on avait grandi. Ses yeux rouges fixaient les miens, je savais que l'odeur du sang lui avait donné faim. J'avais bu assez de sang de cette infirmière pour la nourrir un peu tout en étant en pleine forme. Mais elle devrait se contenter d'une petite ration, ce qui me gêna quelque peu. Je n'aimais pas refuser à Rima, je ne supportais pas de la malheureuse. Pour elle j'aurais remué ciel et terre, me serais plié à ses pires exigences .. Mais je ne voulais pas souffrir ni mourir. J'en avais besoin de ce sang, moi qui avais été malade durant presque un mois. Mais avait-elle vraiment faim ? Je dégageai complètement la chemise de mon cou pour lui montrer que si elle voulait, elle n'avait pas à hésiter.

    Tout chez elle m'avait manqué. Ses yeux, sa bouche, son visage rond et tendre, ses jolies cheveux, son corps parfait envié par toutes les filles, désiré par tous les garçons. Sa voix indifférente qui s’adoucissait quand elle s'adressait à moi. Son uniforme, qui laissait entrevoir de jolies jambes fines et sa chemise, parfois ouverte, le haut de sa poitrine. Sa démarche de mannequin, souple et rapide. Les rares moments où elle riait. En fait Rima ressemblait encore à une enfant, même si son comportement montrait tout le contraire. Ça me déroutait, me déstabilisait. Je ne savais même plus comment me comporter avec elle. Il y avait de grandes chances qu'elle veuille que je la traite comme quelqu'un d'adulte et responsable ... Mais les filles aimaient être protégées .

    Doucement je défis le haut de sa chemise et embrassais tendrement son cou et sa poitrine. Je ne faisais que sentir son odeur, profiter de chaque parcelle de peau libre. Cette odeur entêtante me suivrait toute ma vie, que l'on soit ensemble ou non. Je ne savais plus quoi dire, l'émotion me nouant le gorge. Mes mains se posèrent sur sa taille et de nouveau je la regardai dans les yeux. Elle ne semblait plus m'en vouloir, et j'en étais plutôt content. Me disputer avec les gens m'agaçait, mais avec Rima ça me tuait. J'aurais préféré mourir plutôt que de ne plus jamais entendre sa voix, sentir son regard posé sur moi … Je la renversai sous mon corps et la regardai dans les yeux, le visage écarlate. Doucement j'avançai mes lèvres et les posai sur les siennes, d'une douceur absolue. Je me relevai, embarrassé. Je ne regrettais pas ce que je venais de faire, mais nore relation risquait de changer à présent. Je m'approchai de la porte, sans la regarder.

    «  Je ferais mieux de retourner au Pavillon. J'irai m'excuser demain auprès du professeur pour ton absence. A plus tard ... »

    Mes pas se firent pressants dans le couloir. Je ne voulais qu'une chose : m'enfouir sous mes couvertures et ne plus bouger, dormir encore et encore, et oublier. Certains se oyaient dans l'alcool, moi c'était dans le sommeil. Mais je ne devais pas me laisser aller. La vie valait la peine d'être vécue, avec ses joies et ses peines, ses colères et ses déceptions. Chaque obstacle se présentant devant nous ne faisait que nous rendre plus fort, nous faire nous rendre compte que nous étions en vie. Bras croisés derrière la tête, j'observai le plafond de la chambre d'un air distrait. J'espérais qu'Ichijo ne me poserait pas trop de questions et ne me ferais pas ses sermons habituels. Je ne pouvais pas lui dire ce qui me tracassais car, le connaissant, tout le Pavillon de la Lune serait au courant le lendemain. Voilà pourquoi j'aimais tant Rima. Ce qui se disait avec elle restait entre nous. Je souris tendrement, chose rare pour moi, et plongeai dans le sommeil.


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